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Mon expérience avec... Mistress Aveena

Mistress Aveena est une dominatrice professionnelle basée en région parisienne, avec qui j'ai eu la chance de passer quelques heures. Cliquez ici pour visiter son site internet.


J'ai rencontré Mistress Aveena pour la première fois à l'été 2016, avant de retourner entre ses mains (en l'occurrence, entre ses cuisses...) un an plus tard.


Lorsque je me suis confronté à elle pour la première fois, il s'agissait de ma première expérience avec une professionnelle. Forcément, cela est allé avec son lot de maladresses à plusieurs niveaux. Aujourd'hui, j'en aurais presque honte !


J'avais choisi Mistress Aveena parce qu'elle mettait en avant notamment ses talents de lutteuse. Or, la lutte "fantaisie" fait partie de mes pratiques préférées, et une des seules que je n'avais pas encore explorées à l'époque. En plus de cela, son site bien détaillé et où elle parle un peu d'elle m'avait mis en confiance, pour cette première expérience avec une professionnelle. Quelque part, c'est rassurant de savoir qu'il y a une personne bien avant la dominatrice. Peu de professionnelles parlent d'elles-mêmes et de leur parcours avec une vraie transparence (et ça peut se comprendre).

 

Bref, la rencontre se fait. Très ouverte et souriante, elle sait me mettre à l'aise, malgré une tension et un stress évident, pour cette première. Petite douche, petite discussion informelle et enfin, discussion s'agissant des derniers détails pour le déroulement de la séance.

Elle enchaîne les prises avec mon corps devenu simple poupée, m'obligeant à abandonner à chaque fois.

Le combat de lutte prend alors place, et je me retrouve très vite prisonnier et impuissant entre ses membres. C'est bien cela que j'aime tant avec la lutte mixte, une vraie impuissance physique tout en étant au plus proche de la personne dominante. Sentir directement la pression de ses membres sur l'ensemble de mon corps sans défense. Je ressens cette proximité charnelle comme un privilège, non sans une certaine humiliation provoquée par cette soumission forcée, au premier sens du terme.


Alors que j'étais parti pour résister "pour de vrai", je me suis très vite rendu compte que ce serait vain. Elle enchaîne les prises avec mon corps devenu simple poupée, m'obligeant à abandonner à chaque fois.


Vous avez donc l'information qu'elle ne ment pas lorsqu'elle dit avoir pratiqué la lutte. Entre ses cuisses musclées, vous ressentez bien toute son expérience, nul doute là-dessus. Sans surprise, mes positions préférées étaient celles où j'étais pris et coincé justement entre ses cuisses puissantes ; lorsque ce n'était pas des moments où je me retrouvais le nez plongé dans ses pieds odorants, sans possibilité de me débattre. Aussi, difficile de ne pas rester de marbre lorsqu'elle me faisait subir une position en facesitting. Pour cette séance en particulier, son personnage d'une dominatrice à l'aise, moqueuse et joueuse me donnait encore plus de plaisir des ces situations humiliantes.

Les jambes et pieds d'une dominatrice sur de la soie
Les belles jambes de Mistress Aveena

Puis, après ces quelques dizaines de minutes dans une lutte unilatérale, elle pioche dans son matériel bien rangé et en sort des cordes. Elle m'attache alors les poignets à chacune de mes cuisses, allongé sur le dos, et me voilà immobilisé de la plus efficace des manières. Il était difficile d'exécuter une immobilisation à la fois aussi rapide et efficace. Elle possède un certain talent dans la maîtrise des cordes.


Cette prise de contrôle n'aurait pas été totale sans la touche finale dont je raffole toujours : le bâillon. Elle me scelle donc les lèvres avec quelques bandes de ruban adhésif. Du point de vue du soumis que je suis, il n'y avait alors pas plus belle situation pour continuer à subir la domination physique de Mistress Aveena.


Dès lors, chaque inspiration est une plongée imposée dans son intimité.

Désormais totalement sans contrôle sur mon propre sort, elle me fait renifler ses pieds, chaussettes odorantes et autres sous-vêtements portés, comme je lui avais proposé au préalable, grand fétichiste que je suis. La bouche condamnée, je n'ai d'autre choix que d'obéir si je veux continuer à respirer.


Dès lors, chaque inspiration est une plongée imposée dans son intimité. J'adore les odeurs fortes d'une femme, j'en suis complètement fan. Comme souvent dans les ressentis sado-masochistes, c'est un mélange peu commun qui prend place. Je me sens à la fois humilié, forcé à renifler des odeurs très fortes perçues comme dégoûtantes, mais dans le même temps privilégié, au contact d'odeurs les plus intimes d'une femme intelligente et affirmée. Un accès rare et précieux à des zones inaccessibles en société. Et bien sûr, très excité de manière automatique, comme tout bon fétichiste, sans même réfléchir à tout ça. La connexion odeur-cerveau provoque en moi un effet physique immédiat.


Je me rappellerai toujours qu'elle était venue carrément vider son panier à linge sale dans la pièce, juste à côté de moi, avant de trier ce qui allait lui servir, entre deux-trois rires, dans une esprit presque ludique. J'ai été chanceux de la rencontrer elle, pour cette demande spécifique, pour une première rencontre avec une professionnelle.


En effet, toutes les femmes ne sont pas aussi à l'aise que Mistress Aveena quand il s'agit de jouer avec le fétichisme des sous-vêtements portés et tout ce qui tourne autour de l'olfactif en général (oui, j'ai aussi eu la chance de renifler ses aisselles...). Ici, mon plaisir n'était que d'autant plus grand en sentant qu'elle était tout à fait en phase avec cette "torture des sens", et que cela l'amusait même pas mal. Même quand il s'agit de rencontres tarifées le plaisir partagé - au moins un minimum - est toujours une priorité pour moi.

 

La séance de l'année d'après était un peu dans le même esprit que ce que je viens de raconter, mais plus longue, car j'avais également proposé d'être momifié en fin de rencontre. Cette pratique me faisait rêver et j'en étais, à l'époque, très inexpérimenté.

Dominatrice en collants et talons hauts

Alors qu'elle était censée me laisser à mon propre sort le temps où j'étais momifié, après notre heure de lutte, quel pied ça a été pour moi de la sentir (et non plus la voir, la momification recouvrant même ma tête) débarquer près de moi avec encore une fois un bon paquet de sous-vêtements portés.


Quand bien même je ne pouvais pas la voir, je devinais le plaisir amusé qu'elle prenait à me recouvrir les narines de plusieurs couches de vêtements intimes et odorants. Même ses chaussures de footing y sont passées, pour mon plus grand plaisir.


Mais avant cela, elle n'avait pas manqué non plus de me fourrer son pied très odorant juste sous mon nez, alors que j'étais solidement momifié. Je me rappelle très bien de ce moment-là, ce jour-là, lors de cette deuxième rencontre, un an après la première. Peut-être était-ce un cadeau divin, mais encore aujourd'hui je n'ai pas connu de pieds avec une odeur aussi forte que celle qu'elle m'a forcé à renifler ce soir-là, après une journée de travail. Une odeur aiguë, très aiguë, et extrêmement prenante. Rien que de l'écrire plus d'un an après, je n'y reste pas insensible !


Rares sont les dominatrices en France qui proposent ces séances de lutte fantaisie, et j'aimerais beaucoup revenir la voir à l'occasion.

Aussi, toujours en France, je n'ai pas trouvé meilleure personnalité pour des jeux de fétichisme d'odeurs et sous-vêtements. Mistress Aveena est vraiment décomplexée par rapport à cela, et elle fait honneur à l'ouverture d'esprit qu'elle met en avant sur son site. Dans l'optique d'un plaisir partagé, c'est une réelle qualité.

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